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 Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea

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Quincy Bentley

Quincy Bentley


INSCRIPTION : 21/09/2014
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Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea Empty
MessageSujet: Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea   Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea EmptyDim 21 Sep - 16:45


Quincy Crosby Bentley
C'est pas l'homme qui prend la mer.
---------------
crédit@tumblr ⊹ c'est la mer qui prend l'homme

› prénom(s) et nom(s) : Bentley, le nom de famille de son père, et Quincy Crosby, parce que c'est bien connu que les enfants de rock stars ont toujours des noms à coucher dehors. Vous pouvez le surnommer Quinn si vous préférez. Lui, il préfère. › âge et lieu de naissance : né le 8 août 1994, Malibu (Californie), 20 ans depuis peu donc. › nationalité et origine : américaine. › profession/études : fils à papa, it boy et jet-setteur. › statut civil : célibataire. › orientation sexuelle : homosexuel. › statut monétaire : fortune personnelle estimée à 18 millions de dollars › groupe : anything could happen. › avatar : harry styles.



★ make it real loud,
Est né à Malibu, mais a surtout vécu en Floride. (+) Fils de Nash Bentley, figure de l'industrie musicale américaine, et de Joy Lynn Oakridge, starlette éphémère de la chanson country, originaire de l'Arkansas (décédée d'une overdose en 1995.) (+) Titulaire d'un impressionnant fidéicommis depuis qu'il a atteint sa majorité. (+) A investi dans l'immobilier de luxe. (+) Selon le magazine Forbes, à la tête d'une fortune de 18 millions de dollars. (+) Propriétaire d'une île au large de la Floride. (+) Diagnostiqué bipolaire (trouble maniaco-dépressif, comme les tabloïds aiment l'appeler, bien que Quincy ne soit pas cliniquement maniaque.) (+) Passionné de sports nautiques. (+) Peu attaché à son père. (+) N'a jamais connu sa mère. (+) A baptisé son catamaran The Great Gatsby, d'après son livre préféré. (+) Revendique son train de vie de nanti. (+) Célèbre pour l'organisation de ses soirées, auquel il n'assiste presque jamais. (+) Accro à l'adrénaline. (+) Absolument allergique à tout genre de musique. (+) Se fait généralement appeler Quinn, surnom qu'il préfère à son prénom officiel, Quincy. (+) Connu dans les magazines spécialisés sous le surnom Quinn B.





Dernière édition par Quincy Bentley le Dim 21 Sep - 22:01, édité 3 fois
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Quincy Bentley

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Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea Empty
MessageSujet: Re: Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea   Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea EmptyDim 21 Sep - 16:45

★ it's where my demons hide,

Baby blues. C'est ce qu'on lui explique quand il demande, pour la première fois, pourquoi maman est morte.    
C'est un joli mot, baby blues, le genre qui inspire des musiques tendres et douces, un peu tristes, mais qui, pour l'oreille inattentive, passent pour des comptines et des berceuses. C'est un concept délicat, un terme bleu layette, un pastel qui ne reflète en rien la souffrance de Joy Lynn mais qui évoque sans la formuler la fragilité d'une femme trop jeune, mise à l'épreuve par sa grossesse, une naissance difficile, une carrière qui s'effiloche avant même d'avoir commencé, un compagnon aussi célèbre que Keith Richards, de vingt ans son aîné et pourtant trop irresponsable pour s'occuper d'une famille. C'est une expression qui s'habille de pudeur, qui tait la réalité d'une femme qui se réfugie dans la drogue, pour oublier les pleurs d'un bébé et le silence d'une maison vide, les messages laissés sur les boîtes vocales d'amis et de producteurs qui négligent de retourner ses appels. Oh, ce ne sont pas des drogues dures, tout juste des petites pilules roses, pastel elles aussi, d'une couleur si inoffensive qu'il est presque trop facile d'en prendre une autre, une autre, encore une autre, assez pour se sentir flotter. L'overdose envoie Joy Lynn flotter trop loin, trop longtemps. Quincy visualise ça comme un ballon d'hélium qu'un enfant laisse s'échapper et qui s'envole haut au-dessus des toits, trop pour être rattrapé. Incidemment, il ne fera jamais partie de ces enfants qui réclament un ballon de baudruche en forme d'animal ou de personnage de dessin-animé au détour d'un parc.    
Il écoute un de ses albums, un jour, un vieux vinyl dont la couverture représente une femme mince, qui arbore veste en jean et chapeau Stetson comme une Miss Oklahoma. La voix de sa mère est un peu rauque, un peu brisée, comme celle de quelqu'un qui fume trop, ou qui vient de vider cul sec un verre de whisky un peu fort. Elle est chaleureuse, elle tousse un peu. Quincy réécoute souvent l'enregistrement sur un vieux gramophone, mais les mots ne pénètrent jamais assez et il finit par les faire graver à l'encre indélébile sur son avant-bras.    
   
Nash. C'est comme ça que Quincy appelle son père ; certains pensent qu'il s'agit tout simplement d'une tentative de paraître plus cool, plus adulte. D'autres trouvent que ça ressemble à une marque d'irrespect. Ce n'est pas l'un, ni vraiment l'autre ; c'est surtout que Quincy n'a jamais eu l'impression d'avoir construire avec son père un rapport assez intime pour l'appeler autrement sans avoir l'impression que c'est inadéquat. Attention, il n'a rien contre son père. On peut même dire qu'il l'aime bien, de la façon dont on aime un parrain absent qui passe de temps à autre avec un énorme cadeau et des aventures à raconter, une voix au téléphone dont d'autres vous content les exploits. Pas vraiment un étranger, mais pas vraiment quelqu'un de sa famille non plus. Une connaissance qu'on apprécie sans qu'elle soit pour autant un ami.  
Est-ce que Nash sait à quel point la situation n'a rien d'une situation familiale habituelle ? Oui, sans doute. Est-ce qu'il essaie de se rattraper ? Quincy pense que lui, parce qu'il reçoit toujours une tonne de cadeaux à son anniversaire, à Noël, et à toutes les occasions importantes dont il est tenu au courant. Est-ce que c'est suffisant pour que Quincy lui pardonne de l'abandonner en permanence à une équipe d'employés auxquels il est presque plus attaché, désormais, qu'à son propre père ? En vérité, il n'y a pas grand-chose à pardonner ; Quincy n'est pas à plaindre, avec son compte en banque bien garni, son cadre de vie idyllique, sa villa à Miami avec piscine, barrière électrifiée, équipe de sécurité, majordome, gouvernante, cuisinier, femme de chambre.  
Mais s'il est parfaitement honnête, il doit bien reconnaître qu'il y a des choses que même l'argent n'achète pas, et que même s'il se sent parfaitement fonctionnel sans, il ne cracherait pas sur une véritable famille. Alors il se venge. Un peu, pas trop. Disons simplement qu'il exploite le sentiment de culpabilité qu'éprouve son père pour obtenir ce qu'il veut.  
 

L'île est un caprice qui s'inscrit directement dans cette lignée. Il a seize ans, l'âge où l'adolescent s'isole, s'explore, se construit, se retire dans sa chambre, conçoit son espace personnel. Quincy, cependant, place la barre un peu plus haut que la plupart des jeunes de son âge, qui se contentent de déménager au sous-sol à la recherche d'un peu d'indépendance.  
Sandy Cay coûte la bagatelle de onze millions de dollars, un petit écrin de paradis de plus de trente-mille mètres carré dans l'atoll des Bahamas, un havre de paix de sable blanc et d'eau bleu lagon, d'arbres et de fleurs exotiques, en plein milieu de la mer des Abacos et à moins d'une heure de vol de Miami. Quincy tombe amoureux de la villa principale, toute en bois blanc et baies vitrées, des deux plages, des jardins tropicaux, des chemins sinueux entre les palmiers, de la balancelle du cottage sur pilotis, de la marina.  
 

Que peut-on encore désirer quand on a tout ? Quincy s'est posé la question, a traversé comme tout jeune cette phase d'interrogations existentielles. Quelle saveur a encore la vie quand elle vous est déroulée comme un tapis rouge, quand tout est à portée de main et que rien ne se gagne, rien ne se mérite ? La question le hante, le dérange, le tient éveillé la nuit, l'empêche de mordre à pleines dents dans une existence trop facile.    
Il a tout essayé pour laisser derrière lui ces limites, pour se transcender, s'accomplir dans une existence où il a déjà l'impression d'avoir tout acquis sans avoir rien fait, veut tromper la monotonie d'une existence en s'abreuvant à l'adrénaline. Il a conduit des voitures de rallye, les a délaissées après s'être lassé, quand il s'est aperçu au final que le parcours était toujours tout tracé, s'est initié aux sports extrêmes dans les airs, pour être déçu de la sempiternelle briéveté du vol.  
C'est la voile qui fait toute la différence ; la sensation qu'on éprouve la première fois qu'on largue les amarres d'un bateau est exquise, tout comme la vision d'un horizon qui s'étend à perte de vue, sans obstacles, sans personne. L'océan a quelque chose de fascinant, un gouffre avide, imprévisible et insonsable, un trou noir, un vortex qui l'aspire sans qu'il y oppose la moindre résistance. L'océan a lui-même est un adversaire, une force de la nature, et s'y sentir si petit quand on n'est qu'une voile contre les vagues est un sentiment d'une telle plénitude que Quincy s'y perd, s'y immole comme au bûcher des vanités.  
 
Quinn B. a beau s'être retranché sur son île privée, il n'en reste pas un personnage affreusement public. Il se plie bon gré mal gré aux aléas de son statut de people, organise à Sandy Cay des réceptions somptueuses, laisse courir sur lui les plus folles rumeurs ; il se joint rarement à la fête, préférant laisser ses convives spéculer, daigne parfois faire une apparition flamboyante qui se solde souvent par un exploit hystérique.  


Les excentricités de Quinn B. sont source de bien des rumeurs ; on le dit fou, même si bien souvent, le terme se teinte d'amusement, d'admiration, même. Fou n'est peut-être pas la formule à employer ; le psychologue qui recevra Quincy après le naufrage du Great Gatsby parle lui de troubles de l'humeur modérés et diagnostique une fluctuation entre périodes de dépression et périodes d'euphorie qui frôlent l'hystérie. Le résultat final des examens conclue à de la cyclothymie.  



Est-ce un accident ou pas quand le Great Gatsby, le catamaran de Quincy, se retrouve pris dans une tempête au large de Sandy Cay ? Ce jour-là, Quincy est de sortie quand le vent tourne et que le temps s'assombrit, mais l'excitation du grand large est trop forte pour faire demi-tour, la tentation d'affronter les embruns trop irrésistible.  
Même Shelby Lewis, psychologue spécialisé en troubles psychiatriques et praticien favori des célébrités américaines, sera incapable de déterminer si Quincy était en proie à des pulsions suicidaires au moment où il a décidé de diriger son embarcation droit vers le coeur de l'orage. A sa sortie de l'hôpital et dans le cabinet du psychologue, Quinn soutiendra à grands cris qu'il voulait juste voir à quoi ressemblait l'oeil du typhon.  
Le Dr. Shelby Lewis lui prescrit des stabilisateurs d'humeur et lui conseille une cure psychothérapeutique dans la célèbre clinique The Meadows, en Arizona, connue pour avoir accueilli le supermodel Kate Moss, le boxeur Mike Tyson, la styliste Donatella Versace, l'actrice Selena Gomez et le golfeur Tiger Woods.  



Le séjour dure quarante-cinq jours et Quinn ne s'y rend pas vraiment de son plein gré. Se faire confisquer ses effets personnels à l'entrée, son ordinateur portable, son smartphone, même ses livres et magazines, se voir reprocher certains éléments de sa garde-robe, devoir remettre son rasoir aux employés dès qu'il a fini sa toilette du matin lui donner les premiers temps l'impression de devenir bien plus fou qu'il ne l'était avant d'être interné - même si son père lui soutient qu'il ne s'agit pas d'un asile psychiatrique.
Être résident dans un centre de désintoxication est en fait une question de routine. Repas servis à heures fixes, fitness, yoga et acupuncture le matin, natation, rendez-vous individuels avec un psychologue, sessions de thérapie de groupe dans l'après-midi, méditation en soirée.
Être coupé du monde extérieur est censé permettre aux patients de se détacher des distractions pour se concentrer sur la quête de soi et trouver la paix et la guérison. Mais Quinn ne s'identifie pas comme dépressif. Cependant, il s'identifie comme quelqu'un qui s'emmerde sévère et aimerait être autorisé à jeter un coup d'oeil à Internet et à sortir un peu du centre.
Il est autorisé à sortir après un mois et demi à The Meadows, sans que les psychologues puissent déterminer d'une réelle amélioration de ses symptômes.



C'est la dispute avec son père qui l'empêche de retourner à Sandy Cay, où il aurait souhaité retourner dès qu'il quitte The Meadows. Son père s'y oppose fermement, refusant de laisser son fils réemménager sur sa propre forteresse de solitude, et lui interdit formellement de remettre les pieds sur le pont de quoi que ce soit qui flotterait. C'est Quincy qui vit sur Sandy Cay, mais l'acte de propriété est au nom de son père, et l'île est revendue au plus offrant, au grand désarroi de son résident. Furieux contre son père, il organise sa retraite en faisant l'acquisition d'une propriété reculée, qu'il baptise Land's End, sur la péninsule de Monterey, à Carmel-By-The-Sea, municipalité de quatre-mille âmes au bord de la mer. La propriété de deux-cent cinquante mètres carré, composée d'un bâtiment principal et d'une dépendance séparée avec trois suites inviduelles, est anonyme, fonctionnelle, confortable, et si elle est loin des standards que se fixe Quincy en matière d'immobilier, elle n'est qu'à quatre minutes de jogging de la plage.
C'est dans ce fameux rendez-vous des artistes, réputé pour un cadre de plénitude, que Quinn espère bien pouvoir retrouver le style de vie auquel il est si attaché et se consacrer à son amour pour la voile sans qu'on vienne l'emmerder.



Spoiler:


Dernière édition par Quincy C. Bentley le Dim 21 Sep - 17:13, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea   Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea EmptyDim 21 Sep - 16:46

Et +3 parce que je veux des liens, mes amis, et que vous avez intérêt à faire exploser ma inbox Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea 1419340707 Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea 818160003
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MessageSujet: Re: Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea   Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea EmptyDim 21 Sep - 19:01

bienvenue parmi nous Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea 1176523457 bon courage pour cette fiche déjà bien entamée Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea 3020256667
par contre les initiales ne sont pas admises Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea 595490894
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MessageSujet: Re: Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea   Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea EmptyDim 21 Sep - 19:27

Ah, mais oui, quelle idiote, j'avais bien lu le règlement, pourtant, question d'habitude, je vous ai changé ça Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea 4059779425

Merci en tout cas, je pense avoir bientôt fini, je m'en vais de ce pas réserver mon avatar !
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MessageSujet: Re: Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea   Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea EmptyDim 21 Sep - 22:04

    avec un pseudo pareil, j'imaginais déjà une jolie blonde Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea 2222501059 raté Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea 560095865
    bienvenue parmi nous Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea 1419340707
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MessageSujet: Re: Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea   Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea EmptyLun 22 Sep - 16:11

tu es validé mon beau Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea 1176523457 bon jeu parmi nous Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea 3020256667
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MessageSujet: Re: Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea   Quinn B. + Under the moonlight as we stared at the sea Empty

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